(Si quelqu'un veut être forgeron Antrians un jour ^^')
Le livre était écorché et on pouvait voir des grains de sable entre les pages du livre...
...Le forgeron chauffe son propre fourneau,d'une taille plus modeste,et complète son affinage en le martelant pour en extraire les scories restantes .L'opération se poursuit aussi lontemgs que nécessaire, suivant la qualité de la lame que l'on veut obtenir en incorporant les éléments voulue. Au terme du processus, il subsiste une masse de fer pateuse pâteuse que le forgeron va chauffer, marteler, plier et étirer à plusieurs reprises afin de l'épurer et d'en extraire la plus grande quantité possible d'acier de qualité. A force de répéter l'opération, on finit par obtenir une piéce d'acier pouvant servir à façonner une épée.
A partir de là, il n'y a plus qu'à façonner l'épée. Le plus gros du travail a été acompli lors de l'affinage. Le forgeron prend la pièce d'acier, la chauffe la martèle, y creuse une gouttière si néccesaire et amincit ses bords. Cette lame grossière subit ensuite un affûtage qui lui donne sa forme définitive. Durant cette dernière phase, le forgeron effile la lame, évalue la souplesse et veille à ce que son poids soit bien réparti. Une pointe trop lourde risquerait de ralentir l'épée. A l'inverse, une lame trop légère serait moin efficace et fatiguerait le guerrier qui tenterait de compenser ce défaut. Il convient d'amincir la lame pour qu'elle ne soit pas trop rigide vers la pointe et pas trop souple vers la poignée, de manière à subir une flexion uniforme. le but est d'obtenir une lame aussi légère et robuste que possible, avec un tranchant parfaitement aiguisé.
La fabrication d'une épée complète aussi la métallurgie, l'orfèverie, la menuiserie et le travail du cuir pour la poignée de l'épée.